14 janvier 2007
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Belle illustration d'une maxime de Fernando Pessoa que l'on aime bien : la littérature est l'aveu que la vie ne suffit pas.
On sait que la vie est un roman, certes, mais est-ce que le roman c'est la vie ?
L'incroyable destin de Harold Crick (Stranger than fiction en VO) tente de répondre à cette question : un beau jour (un mercredi pour être précis) Harold Crick, modeste et obsessionnel contrôleur fiscal, entend une voix en train de raconter ce qu'il fait.
Il se rend compte alors que c'est la narration même du roman de sa propre vie. On vous laisse découvrir la suite.
Le pauvre Crick hésite entre tragédie et comédie, mais toute la salle de ciné est persuadée qu'il s'agit bel et bien d'une comédie puisqu'on y rit parfois (et de bon coeur) et qu'on y sourit très souvent.
On en ressort persuadé qu'il faut bien profiter de la vie aujourd'hui et maintenant, avant que le scénariste n'y mette un point final ! Sympathique et rafraîchissant début d'année au cinéma.
à noter : tous les personnages (de Eiffel à Escher ou Kronecker en passant par Pascal ou Hilbert) se sont vus attribuer des noms de mathématiciens.
Une autre critique ici.
On sait que la vie est un roman, certes, mais est-ce que le roman c'est la vie ?
L'incroyable destin de Harold Crick (Stranger than fiction en VO) tente de répondre à cette question : un beau jour (un mercredi pour être précis) Harold Crick, modeste et obsessionnel contrôleur fiscal, entend une voix en train de raconter ce qu'il fait.
Il se rend compte alors que c'est la narration même du roman de sa propre vie. On vous laisse découvrir la suite.
Le pauvre Crick hésite entre tragédie et comédie, mais toute la salle de ciné est persuadée qu'il s'agit bel et bien d'une comédie puisqu'on y rit parfois (et de bon coeur) et qu'on y sourit très souvent.
On en ressort persuadé qu'il faut bien profiter de la vie aujourd'hui et maintenant, avant que le scénariste n'y mette un point final ! Sympathique et rafraîchissant début d'année au cinéma.
à noter : tous les personnages (de Eiffel à Escher ou Kronecker en passant par Pascal ou Hilbert) se sont vus attribuer des noms de mathématiciens.
Une autre critique ici.