12 mai 2007
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L'affiche avec Hannibal Lecter ne nous avait guère alléchés et ce sont donc les critiques (plutôt bonnes) qui nous auront poussés dans les salles obscures pour essayer de découvrir La faille.
Bien nous en a pris car voici un polar bien mené : on sait d'entrée de jeu qui est l'assassin, la police aussi (il se livre quasiment lui-même) et donc tout repose sur la machination montée (comme une horloge ... à billes) par A. Hopkins (inquiétant à souhait comme à son habitude) pour confondre la justice et ressortir libre comme l'air ... après avoir assassiné sa femme, et plutôt deux fois qu'une (mais il faut dire qu'elle le trompait, elle l'avait bien cherché non ?).
Face à lui, Ryan Gosling tient (et fort bien) le rôle du procureur, jeune loup aux dents longues et aux yeux plus gros que le ventre.
Lequel des deux mangera l'autre ? Euh, rassurez-vous, c'était juste une façon de parler, on n'est pas chez Hannibal ...
Malgré peut-être quelques temps morts, voilà une séance détente bien venue !
Certaines séquences avec A. Hopkins sont presque traitées au second degré et avec toute la salle, on rit à plusieurs reprises de voir la justice malmenée par ce maître es manipulations.
D'autres blogs en parlent sur Critico-blog.
Bien nous en a pris car voici un polar bien mené : on sait d'entrée de jeu qui est l'assassin, la police aussi (il se livre quasiment lui-même) et donc tout repose sur la machination montée (comme une horloge ... à billes) par A. Hopkins (inquiétant à souhait comme à son habitude) pour confondre la justice et ressortir libre comme l'air ... après avoir assassiné sa femme, et plutôt deux fois qu'une (mais il faut dire qu'elle le trompait, elle l'avait bien cherché non ?).
Face à lui, Ryan Gosling tient (et fort bien) le rôle du procureur, jeune loup aux dents longues et aux yeux plus gros que le ventre.
Lequel des deux mangera l'autre ? Euh, rassurez-vous, c'était juste une façon de parler, on n'est pas chez Hannibal ...
Malgré peut-être quelques temps morts, voilà une séance détente bien venue !
Certaines séquences avec A. Hopkins sont presque traitées au second degré et avec toute la salle, on rit à plusieurs reprises de voir la justice malmenée par ce maître es manipulations.
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