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On A Tout Archivé

26 avril 2007 4 26 /04 /avril /2007 16:48
Allociné parle du film Le dernier film chinois à la mode sort dans très peu de salles. Une jeunesse chinoise (Palais d'été en VO) bénéficie pourtant d'un bon écho de la critique française, toujours très réceptive aux dissidents de tous horizons, puisqu'il évoque les événements de la place Tiananmen en 1989 et que le film a été interdit en Chine.
Mais le cinéaste Lou Ye ne donne aucun éclairage politique sur ces événements et ne fait que suggérer la répression qui s'en suivit : pour lui, l'explosion de Tiananmen est surtout celle des sentiments exacerbés de cette jeunesse chinoise, la soupape dont ils ont besoin.
Toute la première moitié du film est un beau moment de cinéma : la jeune Yu Hong quitte sa province du nord et s'inscrit à l'université de Pékin. C'est la découverte de la vie étudiante et de la liberté, la liberté de sortir, de danser, d'écouter de la musique, mais aussi la liberté sexuelle de flirter et de faire l'amour à tout va.
Une vie bouillonnante qui ne demande qu'à s'exprimer mais qui ne sait pas trop comment s'exprimer. C'est bien mai 68 version Mao, enfin Deng Xiaoping plutôt.
Yu Hong y rencontre un autre étudiant, Zhou Wei. Un amour difficile puisqu'il est dit que l'amour ne peut être que blessure; et que si vous guérissez, c'est que l'amour s'en est allé ...
La caméra accompagne ces jeunes gens au plus près et ces images pleines d'humanité (Lou Ye aime visiblement ses personnages, il a vécu cette période) parlent d'elles-même accompagnées de peu de mots, pour exprimer la violence des sentiments. Sans aucune naïveté ni mièvrerie, car il y a déjà longtemps que ces étudiants ne sont plus des ados, surtout en Chine ...
La seconde partie du film est plus inégale et plus décousue : le temps s'accélère, à Moscou Gorbatchev passe le relais à Eltsine et la chape de plomb soviétique vole en éclats, à Hong Kong l'étau impérialiste se relâche et à Berlin, la RDA a besoin elle aussi d'une soupape et le Mur finit par tomber. Zhou Wei et plusieurs camarades de Yu Hong partiront d'ailleurs pour Berlin poursuivre leur émancipation.
Yu Hong, elle, poursuit sa quête vers le sud libéral à Shenzen, cherchant à oublier ou à retrouver Zhou Wei dans les bras d'autres hommes. Dans cette seconde moitié du film un peu longuette, le charme de l'université de Pékin et du Palais d'Eté s'est envolé et il ne reste que l'histoire de cet amour impossible, entre Yu Hong en Chine et Zhou Wei à Berlin.
Dans les années 2000, Zhou Wei rentre en Chine. Une Chine qui, en près de 15 ans, a bien changé : on y boit du coca, on ne roule plus en mobylette ou en vélo mais en 4x4 Cherokee sur les autoroutes ... finalement la soupape de Tiananmen aura été salutaire et la Chine s'est ouverte. Il finira par croiser de nouveau Yu Hong pour une très belle fin.
Un film qui offre de beaux moments aux amateurs de chinoiseries ... qui sauront trouver une salle pour le voir.
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24 avril 2007 2 24 /04 /avril /2007 07:31
Le site officielSitué sur une jolie placette de Montmartre, le théâtre de l'Atelier joue les prolongations de Confidences trop intimes.
On avait un très bon souvenir de l'histoire au cinoche avec F. Luchini et S. Bonnaire : une jeune femme en rupture de couple se trompe de porte et croyant se confier à un psy raconte son mal de vivre à un conseiller fiscal, confiné dans la profession et l'appartement de son père. Ce quasi vieux garçon, timide et coincé, est bien en mal d'ouvrir la bouche pour lui parler et se trouve donc contraint de lui prêter son oreille. On comprend vite que le plus "psycho" des deux n'est donc pas celui qui le parait.
Nous avons vu la reprise de la pièce avec Christophe Malavoy (le fiscaliste) et Florence Darel (la jeune femme). Mais paradoxalement, ce sont leurs faire-valoir (le vrai psy d'en face et l'ex du fiscaliste) qui créent une réelle présence sur scène et font valoir leur jeu : on a trouvé Malavoy et Darel un peu fades, mais peut-être n'avaient-ils pas encore eu le temps de s'approprier leurs rôles, précédemment tenus par J. Gamblin et M. Doutey, ce qui fait que le spectacle manque d'un petit grain de sel ou de folie.
Il en reste le plaisir de découvrir ce scénario mis en scène au théâtre : c'est plutôt rare et ici, plutôt réussi, avec une mise en scène astucieuse et des effets de fondus-enchaînés "très cinéma".
On a également tout le loisir d'apprécier un excellent texte récent, ciselé tout en finesse, et là encore ce n'est pas toujours le cas dans le théâtre contemporain.
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20 avril 2007 5 20 /04 /avril /2007 19:29
Le site officielVoici les Folies Bergères habilement transformées en Kit Kat Club pour les besoins de la reprise du musical Cabaret, mis en scène par Sam Mendes.
La première partie avec plusieurs intermèdes «façon théâtre» pour mettre en place personnages et situations nous a paru un peu trop explicative et manquer un peu de rythme.
Mais la petite troupe se démène sur scène pour donner un spectacle vivant et punchy : orchestre et chansons sont vite au rendez-vous.
L'équipe des «filles» surtout, qui arrivent tour à tour, à danser, chanter et même jouer de la musique, rien que ça !
Claire Pérot notamment, qui tient le rôle principal de Sally Bowles, déménage et a vraiment une voix «qui assure» comme en témoignent les ovations qui applaudissent chacune de ses chansons.
Malgré tout, le spectacle «grand public» nous a semblé un peu trop sage et consensuel et MAM gardait un souvenir plus fort et plus dérangeant de la mise en scène de Jérôme Savary de 1986.
Pour ce cabaret, à voile aussi bien qu'à vapeur, où les nuits berlinoises essaient de vous faire oublier ce qui se passe dehors et la montée du nazisme, on aurait sans doute aimé ici un peu plus de provocation, de kitsch ... comme dans la scène des ombres chinoises ou le final.

Plus d'infos sur ce musical avec Wikipédia.
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20 avril 2007 5 20 /04 /avril /2007 07:09
AmazonPolar Nous vous proposons encore un voyage dans l'Empire du Milieu grâce à He Jiahong qui nous fait découvrir avec Crime de sang, la Chine avec ses réalités sociales d'aujourd'hui et ses traditions d'hier, depuis Pékin jusque dans les provinces reculées de l'ancienne Mandchourie (où est né l'auteur).
L'intrigue policière sera dénouée grâce au flair de Maître Hong Jun, un avocat qui, comme l'auteur, a étudié aux États-Unis : une sorte de version pékinoise de Sherlock Holmes ou de Nestor Burma.
D'habitude on n'apprécie guère les "polars historiques" (pour rester en Chine, on pense bien sûr au Juge Ti) qui dépeignent leurs personnages de façon trop naïve à notre goût.
Même si l'écriture de He Jiahong relève un peu de ces romans "faciles" (romance amoureuse, enquête à la Hercule Poirot, ...), son bouquin échappe cependant à ce travers, d'une part parce qu'il est ancré dans la modernité de notre époque et que d'autre part son auteur fait preuve d'une dérision et d'un humour très "second degré" souvent savoureux.
Un voyage extrêmement instructif dans une province du nord de la Chine : dorénavant on ne mange plus de vulgaires "pommes de terre" mais des "Immortelles exilées sur terre" - ça a quand même un autre goût !
Saluons au passage les "notes de la traductrice" qui savent toujours se montrer très pertinentes sans alourdir la lecture.
[...] Lorsque j'ai débuté dans le métier, une voiture pour se déplacer, on en aurait rêvé ! Parfois, on n'avait même pas de bicyclette, on n'avait que nos jambes. On dit que pour être enquêteur de police judiciaire, il faut avoir "les jambes d'un immortel", "l'estomac élastique" et "une horloge dans le cerveau".

Philippe Cottet parle d'un autre polar de He Jiahong ici.
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19 avril 2007 4 19 /04 /avril /2007 07:28
Un site en français sur le film On avait beaucoup aimé le roman du coréen Hwank Sok-Yong, qui s'était d'ailleurs hissé sur l'une des trois marches du podium de notre best-of 2006, c'est pas rien quand même !
Alors bien sûr on ne pouvait pas rater l'adaptation au cinéma de ce superbe roman d'amour, avec Im Sang-soo à la caméra (Une femme coréenne, ...).
Le Vieux jardin, voilà donc transposée sur grand écran cette histoire sur fond d'Histoire : en 1980, la population réagit à un coup d'état militaire soutenu par les américains et les forces de l'ordre sud-coréennes (auprès desquelles nos CRS passeraient pour l'armée du salut) finiront par écraser dans le sang une presque insurrection estudiantine et populaire dans la ville de Kwangju.
Hyun-woo quitte ses camarades à temps pour échapper au massacre et se cache chez une jeune femme, Yoon-he. En quelques semaines, ils verront naître leur amour mais bientôt, Hyun-woo poussé par ses convictions politiques et par le remords d'avoir abandonné ses camarades décide de quitter Yoon-he et de reprendre la lutte et le chemin de Séoul : il sera très vite arrêté pour croupir en prison pendant ... 17 ans.
Le bouquin et le film commencent à sa sortie de prison : après avoir "expié sa faute", plutôt déphasé, Hyun-woo essaie alors de retrouver son amour perdu et une série de flash-backs mélangent habilement le passé au présent.
Encore tout imprégnés des souvenirs de cet excellent bouquin, nous avons beaucoup apprécié le film, savourant chaque séquence de cette lente quête du passé, à la recherche d'un amour qui n'aura pas eu lieu.
Le film reste très fidèle au roman, jusqu'à la très belle fin qu'on vous laisse découvrir.
Mais du même coup, nous ne sommes pas certains que le film pourra plaire comme "première lecture" à ceux qui n'auront pas encore lu le roman.
Im Sang-soo a fortement ancré son film (comme ses précédents) dans l'histoire de son pays, mettant en avant les tourments politiques de Hyun-woo mais sans que cela nous soit pesant.
Mais surtout, il a réalisé un magnifique portrait de femme et Yum Jung-ha qui prête ses traits à Yoon-he est visiblement une grande actrice et donne une épaisseur toute particulière à cette adaptation du roman.
Puisse ce film vous donner envie de découvrir le bouquin !

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13 avril 2007 5 13 /04 /avril /2007 07:25
Allie en parle ailleurs ... Voilà bien un étrange objet que ce Kitchen de la japonaise Banana Yoshimoto.
Deux nouvelles en fait : une première, Kitchen, en deux parties et une autre petite nouvelle.
Toutes ces histoires brassent les mêmes fantasmes : amours de jeunes qui viennent de basculer dans l'âge adulte, fascination pour les travestis, traumatismes de la mort soudaine des êtres proches, ... et cuisine, comme dans tout roman asiatique qui se respecte, et celui-ci, avec un titre pareil, ne pouvait manquer à la tradition !
[...] Je crois que j'aime les cuisines plus que tout autre endroit au monde. [...] Quand je suis épuisée, je songe avec enchantement qu'au moment où la mort viendra, j'aimerais pousser mon dernier soupir dans une cuisine. Seule dans le froid, ou au chaud auprès de quelqu'un, je voudrais affronter cet instant sans trembler. Dans une cuisine ce serait idéal.
L'auteure avait 23 ans en 1988 lorsque son bouquin est paru au Japon pour devenir rapidement un best-seller.
Cette jeunesse (celle de l'auteure, celle des personnages) transparaît dans l'écriture, fraîche, parfois presque "fleur bleue" malgré le sérieux des thèmes abordés.
[...] À présent que tout est fini, je peux le crier très fort. Dieux, je vous maudis ! J'aimais Hitoshi à en mourir.
C'est également un voyage instructif : très jeune, très Tokyo, très Japon, avis aux amateurs !

D'autres blogs en parlent ici et sur Agora.
Le Challenge ABC
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13 avril 2007 5 13 /04 /avril /2007 07:24
Milena Agus chez Liana LeviLoubianka : de sinistre mémoire, c'est le nom de l'immeuble à Moscou où siègeait en 1939 le NKVD (la police politique soviétique, le bras armé du Parti : avant on parlait de la Tchéka, après on parlera du KGB).
Pavel y est chargé d'un petit boulot très sympa : archiver et brûler les manuscrits des écrivains qui se sont écartés de la doctrine officielle (c'est à dire de presque tous les écrivains).
Comble de l'ironie soviétique, Pavel est un ancien professeur de ... littérature.
Mais on aurait tort de chercher dans le bouquin de l'américain Travis Holland un réquisitoire de plus contre les travers du stalinisme : il n'est pas question ici de violences, goulags, tortures, agitations et autres exactions, à peine évoquées.
Le roman se situe plutôt du côté de Kafka et le contexte historique ou politique n'est qu'un décor : tout cela pourrait, hélas, très bien se dérouler en un autre lieu et à une autre époque.
On ne peut évidemment s'empêcher de se remémorer les images du film récent La vie des autres et des couloirs vert-de-gris de la Stasi ...
D'une écriture très sage, très sûre, Travis Holland nous donne une description toute en retenue, douce et feutrée, minutieuse, de la vie quotidienne et ordinaire de ses personnages : Pavel, son petit chef, sa mère, ses voisins, ses amis, ...
Et tout ce petit monde, son petit monde, va peu à peu se déliter.
Au rythme même où Pavel brûle la littérature.
C'est un roman sur la disparition, la fin. La fin de votre monde, la disparition des êtres qui vous sont chers.
Pavel attend son heure : qu'on vienne le chercher. Finalement, peu importe qui : la grande faucheuse ou ses collègues du NKVD, quelle différence ?
[...] Écoutez-moi Victor. Dans un avenir plus ou moins bref, ils se lanceront à vos trousses. Peut-être se contenteront-ils de vous téléphoner un jour pour vous demander de passer à leur bureau, comme ils l'ont fait pour Maxime Andrévitch. Et comme vous n'avez rien fait de mal vous irez. Ce que vous ne comprenez pas, Victor, c'est qu'à l'instant même où vous serez devant eux, votre innocence n'aura plus aucune importance. Des mots comme innocent ou coupable ne sont bons que pour les gens vivant hors des prisons.

"Evene.fr" en parle ici.
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12 avril 2007 4 12 /04 /avril /2007 22:57
Un site en français sur le filmSoirée cool et pas prise de tête : on avait décidé d'aller voir Dangereuse séduction avec la très jolie Halle Berry et le moins beau Bruce Willis.
Tous neurones au repos, nous étions donc dans les dispositions idéales pour nous laisser berner par la mystification du film de James Foley.
Si vous aimez de temps en temps vous laisser mener en bateau, même dans les rues de New-York, embarquez !
Dans ce film tout n'est qu'apparences, faux-semblants et usurpations.
On navigue dans le monde de la pub et du journalisme et chacun se regarde, s'observe, s'épie, ...
On ne peut évidemment guère vous en dire plus et pour une fois, saluons la bande-annonce qui n'est pas la partie la moins astucieuse de l'entreprise.
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11 avril 2007 3 11 /04 /avril /2007 18:33
On en parle ailleurs ...Un étrange petit ouvrage d'écriture graphique découvert à Noël dans les présentoirs de la Fnac : Toxi food, petites digressions autour de la nature humaine, par Sabine Pigalle.
Une sorte de mélange (original et plutôt réussi) entre photo d'art, poésie et recettes de cuisine.
L'idée : à chaque double-page, une photo est associée à une fausse recette.
Une recette vénéneuse et acide, comme par exemple celle, parmi une quarantaine d'autres, du bouillon de rancoeur :

Ingrédients :
  • un sujet épineux (genre pension alimentaire)
  • une botte de nerf en pelotes
  • deux ou trois lardons (à épargner de préférence)
Temps de préparation : un mariage
  • saisissez le sujet par l'épine dorsale et soumettez-le à la question pendant toute la durée de la plaidoirie
  • lardez sur toute la langueur
  • griffez ... piquez ... lorsque le sang perle
  • ajoutez une noix de beurre rance
  • dégustez sans sourciller
etc ...

Cliquez pour suivre la préparation en textes et en images de la bombe glacée d'intolérance ou du crousti-fondant de luxure, nos deux recettes préférées.
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11 avril 2007 3 11 /04 /avril /2007 10:38
Un site en français sur le film Déjà fans du père Hayao Miyazaki, on ne pouvait manquer le premier dessin animé du fils Goro Miyazaki : Les contes de Terremer.
Mais finalement on aura été un peu déçu et l'enthousiasme n'est pas au rendez-vous.
Sans être inintéressant, ce dessin animé s'avère somme toute assez classique et plutôt destiné à un public de jeunes ados, avec des personnages et un univers à peine esquissés ...
On est un peu resté sur notre faim, peut-être parce que le scénario est signé du fils Goro et non de son père Hayao ?
Ou plutôt parce que l'histoire qui sert de trame est d'origine américaine (Ursula Le Guin) ce qui n'a peut-être pas permis aux japonais des studios Ghibli de donner libre cours à leur imagination habituellement débordante ? Et à laquelle on s'était bien habitué ...
Avis aux amateurs : ces Contes de Terremer n'ont donc pas grand chose à voir avec le Nausicaa de septembre 2006.

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