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On A Tout Archivé

10 janvier 2007 3 10 /01 /janvier /2007 08:20
Allez, pour une fois on va parler de ce qu'on n'a pas vu.
Du moins de ce qu'on n'a pas encore vu.
L'actualité cinéma va vite, trop vite, et les films restent bien peu longtemps à l'affiche.
Deux prochaines sorties sont certainement à ne pas manquer :
  • l'un des meilleurs polars de Fred Vargas, Pars vite et reviens tard a été adapté au ciné et sort en salles le 24 janvier avec José Garcia dans le rôle de l'inspecteur Adamsberg. On avait déjà parlé du bouquin il y a peu.
  • le deuxième opus de Clint Eastwood sur la bataille d'Iwo Jima (guerre du Pacifique en 1945) est annoncé pour le 21 février et l'on avait déjà beaucoup aimé le premier épisode : Mémoires de nos pères dont on avait parlé en novembre. Le second volet doit nous faire passer du côté japonais.
On reparlera bien entendu de ces deux films ... quand on les aura vus !
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16 décembre 2006 6 16 /12 /décembre /2006 17:27
Le très design site du filmAprès Paprika, l'anime nippon dont a parlé il y a quelques jours, voici de nouveau un film qui joue avec notre image des images : Déjà vu, un polar américain avec Denzel Washington.
Si l'on est bon public et que l'on accepte l'invraisemblable prétexte du film (l'armée US dispose d'un truc qui remonte dans le temps, rien que ça) comme une simple astuce de scénario et une très bonne idée de mise en scène, alors on goûtera là un bon polar.
Un peu à la manière de Memento (qu'on a d'ailleurs déjà cité ici), ce qui se passe après (après dans le film, donc bien sûr avant dans le temps) explique peu à peu au spectateur manipulé, ce qui se passe avant (avant dans le film, donc bien entendu après dans le temps) ... vous me suivez ?
Mais tout cela semble filmé comme avec une certaine distance et l'on n'adhère pas beaucoup plus aux personnages qu'on ne croit au scénario et cette "curiosité" ne va guère au-delà du sympathique exercice de style pour intellect frileux cherchant l'abri d'une salle obscure pendant l'hiver.
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12 décembre 2006 2 12 /12 /décembre /2006 07:22
Le site du filmOn a bien aimé la fable écolo (les pingouins manquent de poissons et ont faim) racontée par Happy Feet le manchot qui chante comme un pied mais qui a oublié d'être bête.
Les dessins valent le détour par la banquise où la nature a l'air plus vraie que la vraie nature, celle que la Marche de l'empereur nous avait déjà fait découvrir.
La bande son (en VO de préférence) est à la hauteur du dessin puisque c'est aussi une véritable comédie musicale.
Où par ailleurs les intégristes religieux en prennent pour leur grade, ce qui n'est pas pour nous déplaire en ces temps de Téléthon (mais où a-t-on été pêcher cet habile jeu de mot piscicole ?).
Attention cependant, les plus jeunes risquent de passer à côté de beaucoup de choses qui sont parfois implicites : encore un dessin animé pour les grands, même s'il n'y parait pas ...
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8 décembre 2006 5 08 /12 /décembre /2006 17:44
Le site du film Parmi les dessins animés "pour les grands" apportés par le Père Noël cette année, une curiosité à découvrir avec Paprika un manga japonais de Satoshi Kon.
Une débauche de dessins superbes, un véritable délire visuel, un jeu d'images entre télé, affiches, cinéma, ordinateurs et internet, ... qui jongle de réflexion en réflection et de réverbération en rebondissement (le générique est superbe).
Mais difficile de s'accrocher à l'intrigue qui ne fait aucune concession à nos esprits étroits d'occidentaux.
On y retrouve quand même le bestiaire de l'imaginaire nippon (entre Hiroshima et tremblement de terre), depuis les monstres tentaculaires que Miyasaki nous avait déjà fait connaitre, jusqu'au monstre géant destructeur de la mégalopole, icone de la SF du soleil levant.
Cet "anime" comme l'on dit là-bas, est adapté d'un roman de Yasutaka Tsutsui (à ne pas confondre avec Tetsuya Tsutsui dont nous sommes en train de lire deux mangas et dont nous reparlerons bientôt).
Clics en plus : le site du film avec sa musique, Wikipédia, une critique du Monde et une autre de Libé.
Réservé aux adultes et inconditionnels du genre !
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2 décembre 2006 6 02 /12 /décembre /2006 13:02
Le site du filmDélaissant ses italiens préférés, Martin Scorcese a repris un polar hong-kongais (c'est dire si ça déménage !) et l'a transposé dans le clan irlandais de Boston. Cela nous donne Les infiltrés (en VO : The departed, les défunts, tout un programme !).
Il faut s'accrocher : histoire complexe, montage serré, scénario stressant, action violente, ça dérange mais on en a pour son ticket.
Deux flics (Matt Damon et DiCaprio) : l'un est mafieux et se trouve chargé par le parrain (Nicholson, maîtrisé donc très supportable) de moucharder les plans de la police, l'autre est honnête et se trouve chargé par la police d'infiltrer le camp du parrain et donc de moucharder les plans des vilains pour la police.
Sans doute les deux faces d'une même humanité selon Scorcese. Le mafieux joue le faux flic, le vrai flic joue le faux mafieux, ainsi va l'histoire de ces deux taupes (en VO : rat = mouchard, en argot).
Une fin peut-être un peu trop théâtrale, mais comment conclure une histoire pareille ?
On a même été vous chercher un extrait d'une chanson de la BOF : I'm shipping to Boston, à écouter à donf avec le casque !
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26 novembre 2006 7 26 /11 /novembre /2006 22:17
Laissez vous berner, manipuler, emberlificoter par Le Prestige, comme un petit tour de magie au cinéma.
Après un début un peu long aux flashbacks embrouillés, le film se met en place et Christopher Nolan (qui s'était déjà bien joué de nous dans Memento) nous embarque dans une intrigue à tiroirs, double-fond et double jeu jusqu'au tour de passe passe final.
Encore un film où l'on se dit en sortant : ah, si j'avais deviné plus tôt, j'aurais regardé le film autrement ... et oui mais il est trop tard et l'on s'est fait gentiment avoir, c'est là justement tout le charme de ces illusions !
Ce spectacle de prestidigitation c'est aussi l'occasion d'un voyage à la fin du XIX° siècle, à l'époque où l'on découvrait les promesses de la fée électricité (David Bowie incarne le savant serbe Tesla partisan du courant alternatif, opposé au courant continu de Edison).
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26 novembre 2006 7 26 /11 /novembre /2006 09:16
007 revient en pleine forme et nous a bluffés avec son coup de poker au Casino Royale.
Cet épisode fondateur (adapté du premier roman de Ian Fleming où James Bond acquiert le statut de double-zéro [étonnant prologue dans la séquence d'ouverture], et découvre, entre autres mais dans l'ordre, sa première Aston Martin et sa première ... James Bond Girl [Eva Green, fille suédoise de Marlène Jobert], ...), bénéficie d'une mise en scène musclée [la course poursuite qui ouvre le bal à Madagascar a des chances de rester dans les annales !], de dialogues incisifs, mais également d'un scénario assez riche et d'une intrigue suffisamment complexe pour que l'on ne s'y ennuie pas un instant.
Pour cause d'horaires, nous avons vu le film en VF dans une salle comble et les réactions du public d'un soir (ricanements, applaudissements, ...) à la moindre pitrerie de 007 valaient bien le détour !
Le nouveau héros Daniel Craig incarnera derechef James Bond, dans Risico, en 2008. Patience !
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14 novembre 2006 2 14 /11 /novembre /2006 22:35
Après Million Dollar Baby, Clint Eastwood revient dans le registre fort et poignant avec Mémoires de nos pères.
Le film retrace l'histoire d'une photo de guerre très controversée à l'époque, qui immortalise un groupe de soldats en train de hisser le drapeau US au sommet de l'île du Pacifique Iwo Jima, conquise au prix de très lourdes pertes - cette photo avait pour titre Raising the flag on Iwo Jima et fait l'objet d'un article entier dans Wikipédia (mais il vaut mieux éviter de lire l'article avant de voir le film ...).
Plus que la photo elle-même, c'est le sort des Marines de l'image qui intéresse Eastwood : que sont ces "héros" devenus ? comment ont-ils été happés par la foire médiatique qui s'ensuivit et qui les transforma en VRP des emprunts d'état destinés à financer l'effort de guerre qui faiblissait trop vite ?
Le film nous promène entre l'époque contemporaine (le fils de l'un des héros écrit un livre : celui même dont est tiré le film, la boucle est bouclée), la bataille d'Iwo Jima proprement dite, la propagande au pays et l'immédiat après-guerre.
Les scènes du débarquement dans les sables noirs de l'île volcanique d'Iwo Jima sont particulièrement "fortes", comme l'on dit pudiquement. Il faut dire qu'après notre visite des plages de Normandie cet été, nous étions particulièrement sensibilisés ...
La seconde partie du film avec le périple des "héros" de retour au pays s'allonge un peu, alors qu'on a hâte, de flash-back en flash-back, de découvrir le fin mot de l'histoire et tout ce que ne disait pas cette fameuse photo ...
A noter que dans ce film, on ne voit que l'ombre de 2 ou 3 japonais (ils étaient 20.000 sur l'île) : en effet, Clint Eastwood a préparé un second opus - Lettres d'Iwo Jima - qui traitera précisément du volet japonais de l'histoire. A suivre donc !
Et un dernier mot : ne manquez pas les photos du générique de fin.

Dans le film, l'un des personnages dit en substance qu'une simple photo peut faire perdre ou gagner une guerre, en comparant la photo, glorieuse, d'Iwo Jima à celles, honteuses, des exactions commises au Vietnam.
(Soit c'est effectivement la photo qui change peut-être le cours de la guerre, soit le retentissement que lui donne la nation combattante ne fait-il que refléter son état d'esprit : partie gagnante ou déjà battue ...).
On ne peut s'empêcher de songer à la photo d'Irak qui a fait le tour du monde (celle qui montre un prisonnier humilié et tenu en laisse dans la prison d'Abu Grahib) : si l'on s'en tenait aux leçons de l'histoire, il y a bien longtemps que les américains et leurs alliés auraient dû réviser leur stratégie à Bagdad ...
Pour suivre : les lettres d'Iwo Jima
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11 novembre 2006 6 11 /11 /novembre /2006 22:21
Le polar d'Harlan Coben (d'ailleurs le seul bouquin qui sortait du lot de ses polars-TGV) : Ne le dis à personne, racontait une histoire bien américaine.
Les salles obscures nous en proposent une adaptation bien française, inventive et astucieuse, qui nous fait redécouvrir Paris (avec un détour plein d'humour par "la banlieue").
Une mise en scène éliptique et haletante qui contribue à tisser le mystère autour de François Cluzet, perdu à souhait au milieu d'aventures qui le dépassent, et d'une pléiade d'acteurs comme on les aime chez nous : Nathalie Baye, Kristin Scott-Thomas, François Berléand, Jean Rochefort, André Dussolier et j'en passse. Un bon moment de cinéma.
Il parait même que la bande-son (M Chédid) plait à certains !
Le seul vrai grief sera pour le personnage joué par Kristin Scott-Thomas : avec une si belle femme, c'est vraiment du gâchis !
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15 octobre 2006 7 15 /10 /octobre /2006 16:11
Longtemps après Kirikou et juste avant la sortie prochaine de Azur et Asmar, voici de nouveau un dessin animé français qui fait l'unanimité : U , l'histoire d'une princesse, d'une licorne et de la famille des Wéwés.
Des dessins superbes, une musique entrainante (Sanseverino), des dialogues qui ont oublié d'être niais (ne manquez pas les nombreux sous-entendus !), une histoire gentiment poétique avec juste ce qu'il faut de folie, tout est réuni pour un superbe moment.
Décidément, ouais, ouais : we love U !
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